L’histoire d’Almaz, Ethiopienne exploitée par une famille d’Arabie saoudite, est emblématique du sort de nombreuses jeunes femmes, mais aussi d’enfants et d’hommes réduits en esclavage dans le monde. L’esclavage connaît en effet une résurgence planétaire en raison des disparités de niveau de vie selon les pays. L’Organisation internationale du travail, qui dépend des Nations Unies, a estimé à quelque 40 millions le nombre de personnes exploitées en 2016. La fondation australienne Walk Free avance, elle, le chiffre de 45,8 millions d’esclaves modernes.
Cette bande dessinée a été produite par Positive Negatives, qui entend mettre en lumière des thématiques autour des droits humains. Traduction Albertine Bourget.